Les nouveautés sur Collection-Appareils

Vous connaissez très probablement le site, mais vous ne savez peut-être pas qu’il est en constante évolution : le site de Sylvain Halgand, collection-appareils.fr, est alimenté plusieurs fois par an par des bénévoles qui ajoutent leurs appareils à la longue liste de ceux déjà présents. À fin février 2017, ce sont 11466 appareils qui sont référencés et sérieusement documentés. Et la première salve de nouveautés a permis d’ajouter plus de 100 nouveaux appareils !

Vous pouvez consulter toutes les nouveautés sur la page qui leur est dédiée.

J’ai pour ma part donné un peu de mon temps pour présenter un Fujica 35-ML F/2 et une bien belle chambre Photo-Hall Perfect Pliant n°9.

Bourse de Glisy

Je ne sais pas encore si je pourrai m’y rendre, mais l’association liée au site Collection-Appareils organise annuellement une bourse aux appareils photos et photographies à Glisy, près d’Amiens. Cette année, elle aura lieu le 4 mars 2017. À vos agendas !

Affiche Glisy 2017

Un appareil – Le Nikon F-501 AF

C’était la surprise du Père Noël au pied du sapin cet hiver : un magnifique reflex Nikon, le F-501 AF.

Présentation

C’est un appareil trentenaire (1986, comme moi) qui mêle donc look vintage et bonus nostalgie (comme moi) dans un bloc assez lourd (comme… hein ?) mais offrant une bonne prise en main avec sa poignée.

Mais plus important : le F-501 AF est le premier reflex Nikon « grand public » à offrir un autofocus intégré moderne, à travers l’objectif (TTL, Through The Lens). Il a été vendu aux États-Unis sous le nom de N2020 AF. Dans cette gamme d’appareil, les systèmes plus anciens nécessitaient des objectifs spécifiques qui contenaient le moteur d’autofocus. Le prix élevé à l’époque de ces objectifs a conduit à l’adoption du système intégré du F-501, déjà introduit par Minolta une année plus tôt.

Ironie de l’histoire, les reflex numériques modernes réintroduiront le moteur interne à l’objectif une fois la contrainte économique levée, et ce pour des raisons d’efficacité et de discretion sonore.

Bon à savoir : les batteries utilisées pour mettre en marche cet appareil sont de simples bâtonnets AAA, au nombre de 4, logés sur un support dans la semelle. Facile à trouver, y compris en rechargeable (merci pour la planète).

Autre nouveauté d’alors, le F-501 est équipé de l’avance automatique du film, il n’y a donc plus de levier d’armement. Le chargement en est grandement facilité, d’autant plus que la sensibilité du film est elle aussi automatiquement détectée. Mais comme toute évolution est progressive en photographie, ce moteur ne permet pas encore le rembobinage du film.

Avec l’appareil apparaissent les premiers blocs optiques AF Nikkor qui perdurent encore aujourd’hui ! J’ai donc été gâté par l’ajout de deux objectifs standards, le 50mm f/1.8 et le zoom 35-70mm f/3.3-4.5. Si le second est souvent jugé inférieur, je ne l’ai pas encore testé et j’ai privilégié un essai au 50mm. Bonne pioche : sa réputation la précède, c’est une excellente optique, lumineuse, précise et offrant un bokeh très agréable.

Nikkor AF 50mm f/1.8 : une excellente optique, lumineuse, précise, et offrant un bokeh très agréable.

L’appareil a été très facile et agréable à prendre en main. Je l’ai pris avec moi spontanément à plusieurs reprise pour une pellicule d’essai, sans jamais avoir besoin de réfléchir si la situation était adéquate. En belle journée comme en soirée avec peu de lumière, j’ai tout de suite été à l’aise. Une prise ferme et une bonne stabilité du déclenchement m’ont même permis de prendre quelques clichés dans la pénombre sans trop de flou de bouger.

Les modes de fonctionnement automatiques sont des programmes avec préférence pour les vitesses rapides ou lentes. Un mode priorité à l’ouverture sera votre meilleur allié. Et le mode manuel permettra d’utiliser les optiques compatibles. Seul le mode de priorité à la vitesse pourrait manquer à ses admirateurs. Quelques facéties ergonomiques de jeunesse peuvent être excusées : le bouton de mise en marche a tendance à rester en position intermédiaire, les boutons AF-L et AE-L sont un peu inaccessibles.

Le viseur est clair. Sur la droite est affichée la vitesse sélectionnée avec un guide d’exposition lorsque nécessaire. On peut regretter qu’il n’y ait pas de rappel de l’ouverture sélectionnée, comme sur le Canon A-1, mais c’est une habitude à prendre. Vers le bas, c’est un guide à la mise au point, avec le sens de rotation de l’objectif indiqué : utile lors de la mise au point manuelle !

Dans les basses lumières, la performance de l’autofocus déçoit.

Car dans les basses lumières, la performance de l’autofocus du Nikon F-501 déçoit, et on saisit alors les pas de géant qu’ont effectué les constructeurs avec les autofocus modernes. Lorsque le système automatique n’arrive pas à faire le point, le guide lumineux n’est pas d’une grande aide, et le miroir standard n’offre aucun indice utile à la mise au point manuelle. Il faut trouver un verre de visée optionnel, Type J, pour espérer bénéficier de l’appui de microprismes.

Tout cela mis dans la balance, le F-501 reste un très bon reflex qui permet de tirer le meilleur parti des excellentes optiques compatibles.

Quelques photos

Voici la galerie de quelques clichés tirés de cette pellicule d’essai : Ilford HP5 Plus à 400 ASA. Toutes les images ont été prises avec l’optique AF Nikkor 50mm f/1.8.

N’hésitez pas à laisser un commentaire si vous souhaitez en savoir plus sur le Nikon F-501 AF, et pensez à partager vos clichés pris avec cet appareil en me mentionnant sur Instagram. Bonne photo !

Plus d’infos

Remplacer une batterie dans un Polaroid type 100

En juillet dernier, j’ai fait l’acquisition d’un modèle exceptionnel de Polaroid 230. Dans sa boîte, neuf, avec sa facture en francs djibouti de 1969.

Si vous ne connaissez pas cette gamme d’appareils à soufflet (Polaroid séries 100, 200, 300…), représentez vous des engins assez massifs qui permettent de faire des photographies instantanées de la taille d’une petite carte postale. Voici la bête, ci-dessous, comparé à un reflex Canon.

Un des défis avec ces appareils consiste à remplacer un modèle de batterie qui n’existe plus dans la distribution courante. La Eveready 531/532 était un gros cylindre avec des clips à chaque bout où venaient se ficher les connecteurs de l’appareil. On peut trouver des substituts hors de prix (10€ mini) au doux nom de A19PX/A24PX.

À de nombreuses reprises, j’ai rencontré sur le web des tutoriels qui indiquent comment remplacer cette batterie de 3 ou 4,5 Volts par un support pouvant emporter respectivement 2 ou 3 batteries de type AAA. L’idée est alléchante, les piles se trouvent partout. Mais ces modifications se font au dépens de l’intégrité physique de l’appareil, à grand coup de pinces coupantes et autres pratiques barbares.

Attention, les images ci-dessous peuvent choquer les âmes les plus sensibles.

Je lance donc un grand cri du cœur : STOP ! Ne charcutez plus vos appareils ! Voici une solution, parmi d’autres je n’en doute pas, qui vous permettra de shooter de l’instantané à moindre frais.

L’arsenal requis

Voici la longue liste des éléments dont vous aurez besoin pour substituer cette batterie Eveready 531 ou 532.

Les piles

Vous devez remplacer une batterie de 3 ou 4,5 Volts. Il faut donc 2 ou 3 batteries de 1,5V. Parmi les plus petits formats, il y a les piles-bouton LR44.

Les piles alcalines ont des défauts rédhibitoires en photographie, nous en reparlerons probablement un jour. Mais surtout ici nous avons besoin d’une capacité bien plus importante que ce que les LR44 peuvent emporter, ce qui conduit les gens à utiliser les trop grosses piles AAA.

La solution tient dans les batteries zinc-air PR44, l’équivalent des LR44 alcalines, mais avec jusqu’à 6 fois leur capacité. Seul le voltage est un peu plus bas, à 1,35V. Dans notre cas ce sera négligeable.

Leur prix ? Accrochez-vous bien. Généralement moins d’1€ l’unité, encore moins si vous achetez un stock d’avance : 26cents l’unité pour un pack de 60. Votre banquier vous pardonne déjà.

Les connecteurs

Les petits malins qui auront recherché à quoi ressemble l’Eveready d’origine auront sans doute remarqué que ses clips ressemblent à s’y méprendre à ceux des piles carrées 9V. Ce sont exactement les mêmes.

Ces clips pourront être commandés à 25 centimes chez Selectronic. Attention à prendre un modèle flexible, les connecteurs étant un peu larges dans le Polaroid.

Le support

C’est la partie la plus onéreuse, mais vous pourrez faire jouer votre imagination.

Vous pouvez tenter de maintenir les piles entre elles à l’aide d’un ruban adhésif ou d’un élastique. Ce n’est pas optimal, ça risque de lâcher au mauvais moment, mais c’est jouable et ça coûte 0€.

Si vous préférez un peu de sécurité, il vous faut un support dédié pour les piles. Il en existe sur internet, mais parfois au prix de frais de port prohibitifs. Vous pouvez aussi la jouer bricoleur. Je n’ai pas essayé moi même mais l’idée me plaît !

La solution pour laquelle j’ai opté, c’est d’utiliser l’impression 3D. Il existe des supports, conçus par les internautes, qui peuvent être commandés ou téléchargés si vous disposez d’une imprimante 3D. J’ai conçu moi-même mon support, et j’ai profité d’une autre commande chez Sculpteo pour mutualiser les frais de ports. 6€, c’est plus cher que le scotch, mais plus sécurisant.

Le résultat

Reliez les fils des clips au support, placez vos piles, branchez dans l’appareil. Et voilà !

Le résultat.

Si vous vous débrouillez bien, pas besoin de souder, pas besoin de couper, pas besoin de démonter quoi que ce soit ! Et surtout, nul besoin de taillader les entrailles votre appareil.

Amusez-vous bien avec votre Polaroid type 100, et envoyez moi des photos de vos montages et des scans de vos polas !

5 appareils vintage pour bien commencer votre collection

Ça commence toujours simplement : vous êtes tombés sous le charme de d’une boîte à image sur une brocante, ou vous avez retrouvé l’appareil de grand-maman, et puis vous souhaitez agrandir petit à petit la famille ? Vous voulez débuter une petite collection, pour le fun, façon chasse au trésor, pourquoi pas en famille, et sans débourser trois fois votre SMIC ?

Voici une liste qui rassemble des appareils adorables, abordables, amusants à chercher et à manipuler. De plus, elle constitue une base solide pour découvrir une première série de types d’appareils classiques.

Vous vous demandez déjà où chercher. Ebay ?  Leboncoin ? Une petite précision est nécessaire au préalable sur ces « points de vente ». Si les collectionneurs confirmés ont tendance à se rendre dans des bourses dédiées, parmis lesquelles la Foire de Bièvres, votre meilleur moyen de commencer sans vous ruiner sera plutôt de vous limiter aux vide-greniers et vide-maisons autour de chez vous. D’ailleurs ce sont, à mon avis, les recherches les plus amusantes à faire en famille. On en reparlera plus bas : réservez les bourses photo pour votre avenir de collectionneur.

Quant aux sites d’enchères en ligne, c’est comme faire ses courses de Noël sur Amazon : on trouve tout, à tous les prix, et sans aucun plaisir. Fuyez !

Bien, ceci étant dit, commençons tout d’abord par les best-sellers des best-sellers, j’ai nommé…

Fex Ultra Reflex
On parlera de Fex dans cet article, alors voici un Ultra Reflex, pour le sport !

Continuer la lecture de « 5 appareils vintage pour bien commencer votre collection »

Où et quand acheter des films pour Polaroid ? Deux codes promo !

Les films pour Polaroid 600 et SX-70 ne sont plus produits par Polaroid depuis maintenant 8 ans, autant dire que les dates de péremption ont été atteintes depuis longtemps. Même dans des conditions optimales de conservation, ces packs vendus au prix du neuf ne valent pas le coup. Evitez donc eBay. Fuyez pauvres fous !

Plusieurs séries et gammes de films sont actuellement produits par Impossible Project. Quelques différences sont à noter. Les cassettes contiennent 8 photos, et non 10 comme à l’origine, et ce pour des raisons techniques et très probablement économiques. Le prix de ces cassettes, peu importe le type de film, est de minimum 20€.

Pas besoin d’avoir fait math sup’ pour calculer le prix de la photo : chaque cliché revient à 2,5€.

Tour Motnparnasse
Tour Montparnasse – Polaroid Instant Color SX-70

Il existe pourtant de très bons plans si vous souhaitez faire un usage extensif de vos appareils Polaroid. Je vous conseille donc de réfréner vos ardeurs et d’attendre les promotions qui sont monnaie courante chez Impossible et ses revendeurs. Très souvent le site Impossible Project propose des réductions sur tout ou partie de sa production. Les réductions plus importantes interviennent sur les produits en fin de série, les formules des films étant en constante évolution.

D’ailleurs en ce moment, à l’occasion du Salon de la Photo 2016, Nation Photo à Paris propose sur sa page Facebook 20% de réduction sur tous les films Impossible, soit au moins 4€ par cartouche sur leur site internet. La livraison étant offerte sur ce type de montants, et la date de fin d’offre n’étant pas connus, c’est à saisir d’urgence ! La réduction se fait à la commande en utilisant le code de réduction SWEETSIXTEEN valable jusqu’au 31/12/2016.

Pour être au courant des réductions quand elles interviennent, le mieux est de surveiller les comptes des revendeurs sur les réseaux sociaux et si possible s’abonner à leurs newsletter.

Si vous avez d’autres bon plans pour vous procurer ces films, n’hésitez pas à en faire part dans les commentaires. 🙂

Black Friday Impossible ProjectMise à jour : en 2015 Impossible appliquait pas mal de réduction lors de la saison à venir du Black Friday. Restez à l’écoute !

Mise à jour du 22/11/2016 : Et voilà, Impossible Project a annoncé 20% sur l’ensemble de son site pour le Black Friday ce week-end. Le code promo a appliquer est BLACKFRIDAY.

Quel logiciel pour gérer ma collection ?

Mise à jour du 19/04/2018 : Mon choix a sensiblement évolué depuis cette première tentative. Si ce billet est toujours d’actualité concernant mes critères de sélection, vous trouverez sans doute plus intéressant de voir dans la pratique ce qui m’a servi à (enfin) cataloguer ma collection.


Lorsqu’une collection commence à s’étoffer, une question revient irrémédiablement : quel moyen se donner pour la gérer ? Gérer une collection, c’est recenser ses constituants – dans mon cas les appareils photographiques mais également leurs accessoires, dater les entrées et sorties, gérer les éventuels prêts à d’autres personnes, et maintenir une documentation assez précise à jour sur chaque individu : quel film, quel format, quelle année de construction, quelle marque, quel modèle, quelle variante, etc.

Si on pense pouvoir s’en passer au début, on est vite rattrapé par la dure réalité (et notre mémoire défaillante). Dans le cas de certaines grandes collections, cette gestion devient même l’unique moyen de retrouver physiquement un élément enterré sous trois rangées d’appareils.

Mais comme en plus je suis plutôt du type exigeant, le choix a été long et complexe.

Aujourd’hui je partage un peu avec vous de ma réflexion, pour ensuite vous présenter quel a été l’élu et pourquoi.

Continuer la lecture de « Quel logiciel pour gérer ma collection ? »

Un appareil – Le Kodak Beau Brownie

Je présenterai au fur et à mesure de mes envies et de mes coups de cœur les appareils que je trouve intéressants techniquement, esthétiquement ou même historiquement. Premier de la série : le Kodak Beau Brownie.

Présentation

Un objectif doublet optique simplissime, deux ouvertures tournant autour de f/11 et f/16, une unique vitesse d’obturation frôlant le 1/50e, et la pose T. Ces spécifications de qui laissent rêveur sont celles du Kodak Beau Brownie. Vous saisissez, je ne vais pas parler aujourd’hui d’un appareil qui aurait révolutionné la technique de l’époque.

Non, au contraire, le Beau Brownie est aussi simple d’usage que n’importe quelle box lors de son lancement en 1930.

Mais il fait partie des nombreux appareils Kodak imaginés à partir de 1927 par le designer américain Walter D. Teague. On peut se faire une idée des différentes créations en feuilletant la liste des brevets de Teague dans ce domaine.

Walter Teague avait ici un défi à relever : partir d’une grosse boîte à savon en carton pour la rendre attirante et luxueuse. Et c’est ce qu’il fit en dessinant une façade Art Déco des plus réussies. Des formes géométriques bicolores et surlignées de chrome, une façade entièrement émaillée. Le simili-cuir recouvre un corps en bois, carton et métal, et adopte un ton similaire à la couleur de la façade.

Brevet Beau Brownie
Design du N°2A Beau Brownie par W. Teague

L’appareil existe en deux modèles, les N°2 et N°2A qui correspondent respectivement à deux formats de prise de vue 6x9cm et 6,5x11cm. Les deux types d’appareils sont donc différents par la taille, le 2A est un peu plus allongé.

Mais surtout, cet appareil a été habillé de magnifiques couleurs. La robe la plus courante est celle qui mêle le noir et le bordeaux.

Les quatre autres habillages magnifiques, mais plus rares, arborent le bleu turquoise, le rose pastel, le vert d’eau ou le brun tan.

Quelques images

Je suis l’heureux possesseur d’un modèle noir et bordeaux en magnifque état, ainsi que d’un individu bleu ayant un peu plus vécu. En voici quelques images.

Plus d’infos

Expo à Paris – Premier salon de la photographie du 13e

La Mairie du 13ème arrondissement de Paris héberge du 26 octobre au 9 novembre 2016 un Salon de la Photo. L’occasion de rassembler des collections de plusieurs artistes photographes que j’ai pu découvrir cet après-midi, ainsi qu’une sélection de clichés amateurs et professionnels.

Comptez 1 bonne heure pour faire le tour complet, plus si vous participez aux animations. L’entrée est libre et gratuite, profitez-en !

Voici un résumé de ma visite en quelques lignes.

Artistes exposés

Georges Rousse

Georges Rousse expose plusieurs de ses travaux de plasticien de la photographie : des mises en scènes dans des espaces abandonnés dans lesquels il crée minutieusement des anamorphoses de couleur, de feu, de texte. Une vidéo décrivant la réalisation d’une des œuvres est diffusée dans laquelle on peut observer également la technique argentique utilisée par le photographe.

N’hésitez pas à observer les agrandissements de plus près pour découvrir les détails de ces trompe-l’œil.

Eric Bouvet

Quelques tirages géants d’œuvres de photojournalisme, clichés tirés de l’actualité internationale, côtoient des instants de paix plus introspectifs.

Jean-Paul Lefret

Les clichés de J.P. Lefret mettent en scène des archanges dans des paysages ultra urbanisés ou dénaturalisés, de Paris à Las Vegas en passant par Hong-Kong et Montfermeil. Un beau travail sur la lumière, le mouvement, et la symbolique des matériaux, et un nombre d’œuvres conséquent. Ma préférée reste celle de Montfermeil, je mettrai ça sur le compte de mon attirance pour la géométrie de l’image.

Gilles Nolorgue

Gilles Nolorgue expose des clichés de photographie de rue de Paris avec une esthétique souvent très contrastée et dramatique : environnements et paysages parisiens, street art.

Parcours amateurs et professionnels

Beaucoup de photographes du 13ème arrondissement ont soumis leurs clichés pour l’exposition, un jury a sélectionné pour nous les meilleurs d’entre eux.

Si vous appréciez la technique argentique, ne manquez pas la série réalisée avec les enfants du Club Photo Paris Anim’ Goscinny qui explore plusieurs techniques de développement et de tirage : papier salé, solarisation, avec des résultats très sympathiques.

Toutes les infos

Dates : du 26/10 au 09/11/2016
Horaires :
Lundi – vendredi 9h00 – 17h00
Jeudi nocturne jusqu’à 19h30
Samedi 9h00 – 18h00
Tarif : Gratuit
Adresse : Salle des fêtes de la Mairie du XIIIe arrondissement, Place d’Italie, 75013 Paris
Plan d’accès :

Plus d’infos sur le site de la mairie du 13ème arrondissement de Paris ou dans le Programme du Salon de la Photo 2016.

Bonne visite !